Tribune

Aspect économique de la problématique des orphelins : l’effet du VIH/sida 1ere partie

Les épidémies partagent une particularité importante avec les famines, les guerres et les catastrophes naturelles : elles sont invariablement suivies d’autres catastrophes. Dans l’ensemble du monde, les épidémies de VIH/SIDA ont d’ores et déjà un effet d’entraînement dévastateur. Des millions d’enfants se retrouvent orphelins, des communautés sont anéanties, les services de santé sont débordés et des pays entiers sont aux prises avec la famine et l’effondrement économique.

Ce sont les populations pauvres qui sont les plus gravement touchées par la maladie : elles sont les plus vulnérables à l’infection et c’est parmi les familles les plus démunies que la maladie cause le plus de souffrances, de maladies et de morts. L’un des effets du VIH/SIDA tient aux difficultés financières dévastatrices qu’il entraîne, lesquelles ont à leur tour des conséquences tragiques. La maladie enfonce encore davantage les familles démunies dans la pauvreté et elle condamne au même sort des ménages relativement aisés.

Il est probable que les effets de l’épidémie sur la structure démographique et l’espérance de vie des adultes vont se traduire par des changements négatifs majeurs dans le mode de comportement socio-économique. En plus d’avoir à subir une perte de revenu et à consacrer leurs ressources aux dépenses de santé, les familles doivent se résoudre, pour affronter la situation, à des solutions dont les effets à long terme sont négatifs comme l’émigration, le travail des enfants, la vente de leurs biens et la liquidation de leur épargne. Les familles, déjà accablées par la maladie ou la mort d’un ou de plusieurs de leurs membres, doivent encore assumer directement les frais médicaux et les frais d’obsèques et subir les coûts indirects générés par l’impact de la maladie sur la productivité.

Les épidémies partagent une particularité importante avec les famines, les guerres et les catastrophes naturelles : elles sont invariablement suivies d’autres catastrophes. Dans l’ensemble du monde, les épidémies de VIH/SIDA ont d’ores et déjà un effet d’entraînement dévastateur. Des millions d’enfants se retrouvent orphelins, des communautés sont anéanties, les services de santé sont débordés et des pays entiers sont aux prises avec la famine et l’effondrement économique.
Ce sont les populations pauvres qui sont les plus gravement touchées par la maladie : elles sont les plus vulnérables à l’infection et c’est parmi les familles les plus démunies que la maladie cause le plus de souffrances, de maladies et de morts. L’un des effets du VIH/SIDA tient aux difficultés financières dévastatrices qu’il entraîne, lesquelles ont à leur tour des conséquences tragiques. La maladie enfonce encore davantage les familles démunies dans la pauvreté et elle condamne au même sort des ménages relativement aisés.
Il est probable que les effets de l’épidémie sur la structure démographique et l’espérance de vie des adultes vont se traduire par des changements négatifs majeurs dans le mode de comportement socio-économique. En plus d’avoir à subir une perte de revenu et à consacrer leurs ressources aux dépenses de santé, les familles doivent se résoudre, pour affronter la situation, à des solutions dont les effets à long terme sont négatifs comme l’émigration, le travail des enfants, la vente de leurs biens et la liquidation de leur épargne. Les familles, déjà accablées par la maladie ou la mort d’un ou de plusieurs de leurs membres, doivent encore assumer directement les frais médicaux et les frais d’obsèques et subir les coûts indirects générés par l’impact de la maladie sur la productivité.

 

 

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